Royal Botania dévoile sa nouvelle collection de salons d’extérieur, avec des caractéristiques uniques méticuleusement conçues et fidèles à la promesse de la marque de « se livrer à la sophistication » (indulge in finesse).
Royal Botania est une entreprise familiale née au début des années 90. L’entreprise s’occupe de toute la production… du prototype à la livraison aux clients et aux détaillants. Les meubles d’extérieur sont certifiés de haute qualité et la traçabilité est garantie.
En 2022, Royal Botania nous réserve des surprises avec de nouveaux salons extérieurs élégants, modernes et chics.
Le premier, c’est l’esprit LOUNGE, le canapé profond modulable est là pour accueillir de plus en plus d’amis au fil des années, transformant la terrasse en une véritable nouvelle pièce… un art de vivre, des daybeds pour savourer l’art de la sieste. On y retrouve l’esprit des collections imaginées par Kris Van Puyvelde.
Avec des lignes modernes, un piètement généreux en teck (ou en aluminium), la collection MOZAIX laisse une avancée en céramique en guise de repose livre ou pour y déposer une tasse… ce salon peut s’imaginer à l’extérieur et l’intérieur.
Tout est ZEHNIT, l’élégance du teck et le jeu raffiné des accoudoirs évidés donnent une impression de légèreté à cet ensemble.
Le STYLETTO, comme son nom l’indique, a des pieds effilés en aluminium noir… qui accentuent les lignes modernes et douces de l’ensemble.
A la pointe de la modernité, NINIX présente une structure en aluminium qui lui confère une silhouette extrêmement simple reflètant l’architecture urbaine outdoor… flirtant presque avec le ciel !
A propos de Royal Botania « indulge in finesse »
L’entreprise est née d’une amitié entre Frank Boschman et Kris Van Puyvelde, qui se sont rencontrés alors qu’ils étudiaient l’ingénierie à l’Université d’Anvers. Ils ont commencé à importer des meubles en teck d’Indonésie en 1992… la première entreprise s’est soldée par un échec en raison de la mauvaise qualité de conception et de fabrication des produits importés. C’est tout ce dont ils avaient besoin pour en retirer quelques leçons utiles et définir le futur ADN de Royal Botania… un design sans défaut et une qualité parfaite pour tous les salons d’extérieur adaptables à tous les jardins.
Les créateurs ont conçu à l’origine des meubles pour une fabrication en bois de teck. Ils ont vite compris que la toute jeune marque Royal Botonia devait s’adapter aux nouveaux matériaux – aluminium, acier inoxydable et fibres synthétiques – et lancer une ligne de mobilier et d’éclairage extérieur. Une offre unique qui a rapidement établi l’image et la notoriété internationale de Royal Botania auprès des particuliers, architectes et décorateurs travaillant sur des demandes hôtelières.
Après trente ans d’existence, avec 800 employés dans le monde travaillant pour Royal Botania, dont 50 sont basés à son siège près d’Anvers, en Belgique, un nouveau showroom vient d’ouvrir, présentant tous ses produits de l’entreprise. Outre la création des collections, Royal Botania est également responsable de l’ensemble de la production, des ventes, du marketing, du stockage, de la distribution, de la logistique et du service après-vente dans l’usine thaïlandaise.
Royal Botania a un sens du beau éco-responsable, car pour s’affirmer comme référence internationale il faut assumer sa responsabilité environnementale… Les matériaux utilisés se font de plus en plus rares. En effet, l’entreprise est un grand utilisateur de bois de teck, mais sa politique de développement est basée sur la RSE (Responsabilité Sociale et Environnementale). Depuis 2010, elle possède une plantation de teck de 200 hectares (250 000 tecks) labellisée Green Forest Plantation Co… pour rendre à la terre ce qui est pris. Royal Botania n’utilise que du bois de teck du Myanmar (Birmanie), et la fabrication se fait dans son usine au cœur d’un village de Thaïlande, où elle offre des facilités d’accueil (repas et hébergement gratuits, activités sportives, soins médicaux, garderie pour les enfants, etc.) pour l’ensemble des familles de 400 employés.
Royal Botania ne fait aucun compromis dans le choix des matériaux. En effet, l’entreprise maîtrise l’impact environnemental et social de ses procédés de fabrication. Le teck utilisé est soigneusement mûri au Myanmar, dans le strict respect de la politique de « forêt durable » formulée par le Fonds mondial pour la nature (WWF), et tous les matériaux synthétiques sont 100 % recyclables.
Royal Botania ne s’écarte jamais de la qualité qui en est sa raison d’être. Les produits vendus à l’international doivent résister à la chaleur du désert de Dubaï, aux hivers canadiens ou aux rayons UV du soleil d’été australien. L’entreprise obéit aux contraintes climatiques, qui l’obligent à porter une attention particulière aux détails, ce qui est au cœur de sa politique de R&D.
Kris Van Puyvelde est à la fois designer et manager. Il crée l’essentiel des collections Royal Botania et dit ainsi : « Je dessine la plupart des modèles des collections Royal Botania depuis près de 30 ans : l’ADN de la marque est devenu une partie de moi et inversement ! C’est certainement la raison pour laquelle nos modèles sont si facilement reconnaissables par nos clients. C’est un « je-ne-sais-quoi » qui trace le fil conducteur entre toutes les créations Royal Botania. Chaque fois je pars d’une page blanche, mais encore faut-il trouver un moment tranquille pour dessiner. C’est peut-être pour cela que la plus grande partie des collections ont été créées à plus de 30 000 pieds d’altitude lors de longs vols entre Bruxelles et notre usine en Thaïlande. En vol, je peux me concentrer sur la ligne à tracer en essayant de faire quelque chose de différent de ce que j’ai déjà. Quand j’arrive en Thaïlande, je peux immédiatement utiliser mes croquis pour tester des prototypes. La cohérence créative est selon moi plus intéressante que l’uniformité, chacun peut mélanger tel ou tel meuble à son goût, mais l’ensemble est toujours cohérent grâce à ce fil conducteur qui accompagne mes dessins. En fait, ma plus grande satisfaction est de voir mes produits partout dans le monde. Sur la terrasse d’une belle villa, dans un reportage de magazine de luxe, sur le pont d’un méga yacht alors que je flânais sur le port, dans un boutique hôtel… un peu comme un père heureux de revoir ses enfants. »
André Tirlet
